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(Anselme) I am, indeed, a king, because I know how to rule myself

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✧ Parchemin envoyé Sam 12 Jan - 2:25 ✧


Anselme Pascal Delacour
๑ A lion is called a 'king of beasts' obviously for a reason ๑
  • ๑ Nom : Famille a la fleur de lys désargentée. Bien que riche comme Crésus, les (Delacour) ont toujours envié cette famille royale qu'ils auraient pu être. Et ce combat ne s'arrête jamais.

    ๑ Prénom : Fils des Ases, il protège, sert les intérêts béliqeux de ses parents. (Anselme) était sans doute le prénom rêvé pour ce fils aîné qui rend si fier son père. (Pascal) est un souvenir littéraire des lectures de sa mère.

    ๑ Âge : Il est le plus vieux des enfants Delacour. (Quarante et un ans). Fils aîné qui n'est rien de plus qu'un poing dans ses propres aspirations politiques.

    ๑ Date et Lieu de naissance : Il est né à (Paris), dans l'hôtel particulier de sa famille. C'était il y a un certain temps déjà, c'est vrai. Fil du (cinq mai dix-huit cent quatre-vingt-six). Anselme est venu au monde après douze heures de travail de la part de sa mère.

    ๑ Statut Marital : Il est passé par bien des statuts. Fils célibataire, fils fiancé et presque marié. Anselme a connu deux femmes, la première qu'il aurait pu aimer est morte de la dragoncelle avant leur mariage. La seconde, alliance politique qu'il détestait et qu'il a pu répudier avant les fiançailles à cause d'histoires de frivolité. Aujourd'hui, c'est lui qui est (frivole) en compagnie d'une jeune Rosier, Amélie est une sorte de muse et de garde-fou. Mais il ne lui est en rien fidèle.

    ๑ Orientation Sexuelle : Il aime les courbes parfois tendres et torturées des femmes. Il n'en a jamais été autrement. Purement (hétérosexuel), il lui a arrivé de partager la couche de plusieurs femmes en même temps, mais il n'a jamais cédé à des actes contre nature.

    ๑ Occupation : Assistant de son père de Sénateur, ce dernier a quitté ses fonctions il y a quelques mois, faisant de l'apprenti un homme. L'homme de la situation. Anselme est désormais celui qui représente les Delacour au Sénat, celui qui s'oppose au Saint-Clair, qui aide à prendre les décisions pour la France. Il est (Sénateur) et ça lui va à ravir.

    ๑ Traits de caractère : Agréable - Aimable - Ambitieux - Apaisant - Appliqué - Attentif - Audacieux - Bienséant - Brillant - Calme - Captivant - Charismatique - Charmeur - Combatif - Compatissant - Complaisant - Conciliant - Consciencieux - Courtois - Critique - Cultivé - Décidé - Digne - Diligent - Diplomate - Distingué - Droit - Doux - Efficace - Éloquent - Empathique - Engagé - Galant - Impliqué - Influent - Intègre - Intelligent - Loyal - Lucide - Maître de soi - Noble -  Observateur - Ordonné - Paisible - Persévérant - Poli - Protecteur - Prudent - Raisonnable - Rationnel - Réaliste - Résolu - Respectable - Rusé - Savant - Sérieux -  Tenace - Tendre

    Acerbe -  Autoritaire - Baratineur - Blessant - Borné - Calculateur - Caractériel - Cassant - Cynique - Débordé - Dominateur - Dragueur - Égoïste - Énigmatique - Envieux - Fataliste - Froid - Hautin - Imbu de lui-m^me - Impatient - Jaloux - Magnanime - Maniaque -  Méfiant - Mystérieux - Narcissique - Obtus - Orgueilleux - Pessimiste - Possessif - Rancunier - Réservé - Revanchard - Sarcastique - Solitaire - Stressé - Strict - Suffisant - Susceptible - Tempétueux - Têtu - Vaniteux.
  • ๑ Baguette Magique : Sa baguette s'accorde à son caractère. En (bois de saule), il a toujours démontré un grand potentiel grâce à ce sentiment d'insécurité qui plane sur sa famille aux idées politiques bien tranchées. Elle possède en son coeur, une (plume d'oiseau tonnerre), qui rend sa magie puissante. Elle mesure (trente centimètres) et elle est parfaitement flexible et s'adapte facilement aux mouvements de poignets du sorcier.

    ๑ Patronus : Il a du former ce sort quelques fois lors de l'école, à Beauxbâtons, mais Anselme n'a jamais véritablement compris pourquoi c'était un (lion), majestueux qui sortait du bout de sa baguette. Un animal puissant qui l'étonne toujours, même aujourd'hui.

    ๑ Épouvantard : Il n'a jamais croisé cette bête, cette créature qui lui montrerait ce qui lui fait le plus peur. Sans doute cela se résumerait à sa (famille décimée) alors qu'(il porte leur sang sur ses mains). Mais Anselme ne sait pas que (les cadavres de Rosalie et d'Amélie) seraient également dans cette pile de corps.

    ๑ Amortentia : L'argent n'a pas d'odeur, sinon, il sentirait cette odeur d'or et d'argent qui est commune aux Delacour. Cependant, c'est l'odeur de (la terre humide, de la poudre à farder ainsi que celle du lys) qu'il sent lorsqu'il s'approche des potions chez les potionistes.

    ๑ Camp et Groupe : Templier & Delacour, il vit pour le secret magique et sa famille avant tout.

Quel est ton bel être connu ? J'ai arrêté de me présenter vraiment, Cloée, la folle, la pute, bref un peu de tout.

Qui est cette gueule d'ange ? Daniel Gillies le BG, parce qu'e j'en pouvais plus quoi **



| Paris ● Naissance ● 1886 |
Il est tellement beau le premier-né des Delacour. Un brave petit garçon qu’on dit déjà vigoureux. Anselme est venu au monde alors que ses parents cherchaient à avoir un enfant rapidement après leur mariage. Voulant à tout prix être au même niveau que les Saint-Clair qui avaient eu une fille. Mais eux, ils avaient un fils. Un héritier. Madame Delacour, elle souffle à l’oreille de son nourrisson qu’il est merveilleux qu’un jour il aura tous les trophées, toutes les médailles qu’il mérite, qu’il ne sera pas l’éternel second. Pourtant, après Anselme, il y a trois autres enfants, des sœurs. Et le dernier de la famille Oscar vient clore le travail de votre mère avec brio. Deux beaux garçons, trois belles filles. Des beaux pions pour la politique française.

Il court Anselme dans les jardins de ce grand hôtel particulier à Paris, quand sa mère lui dit au loin. « Anselme, mon chéri, laissez donc votre sœur, vous allez la blesser. » Il avait six ans et sa sœur quatre. Oui, ils étaient jeunes, mais s’amusaient avec des chevaux de bois ou bien à courrier après les elfes de maisons dans les allées du jardin. Quand il arrive devant sa mère, toujours aussi jolie, bien qu’une nouvelle fois enceinte, il sourit le petit garnement avec son regard brun malicieux. « Mère, nous ne faisons que jouer, pouvons-nous rester encore quelques minutes ? Il fait si bon dehors. » Il avait les bonnes grâces de sa mère, il les a encore aujourd’hui Anselme, mais sa génitrice d’eux de cesse que de frotter le haut de son crâne. « Il faut étudier mon fils, votre professeur vous attend, nous allons jouer avec votre sœur le temps de votre leçon d’Histoire de la Magie. » Le petit ange baisse les yeux sur le sol. Il était bien malheureux de devoir rester à l’intérieur ce charmeur né, mais depuis qu’il avait fait preuve de pouvoirs magiques, il y a de cela un an, Anselme était forcé à étudier beaucoup de matières, parfois incompréhensibles. Mais il le faisait parce que ça rendait si fier son père.

| Marseille ● Vingt-cinq ans ● 1911 |
Lors de leur voyage après la fête de leurs fiançailles, Rosalie était tombée malade, une dragoncelle qui le clouait au lit à Marseille. Impossible pour Anselme de quitter la cité phocéenne et de laisser sa future femme dans cet endroit qu’il jugeait sinistre en comparaison de Paris. Mais qu’y pouvait-il dans le fond ? L’état de Rosalie empirait de jour en jour et aucun médicomage ne semblait être assez doué pour remettre la demoiselle sur pied. Personne ne semblait l’être. Assis à son chevet, le Delacour ne pouvait que prier tous les Saints qu’il connaissait et il en connaissait peu ; voilà sans doute pourquoi un matin, c’est Rosalie qui a pris sa main, en serrant la sienne de toutes les forces qui lui restaient. « Serre-moi dans tes bras Anselme. » Évidemment, il s’était assis sur le bord du lit et l’avait prise contre lui. C’était agréable de la toucher malgré son visage déformé de boutons rouges et la peau creusée par la maladie. « Tu vas me manquer mon amour. » « Rosie, arrête, s’il te plait. Tu remontes la pente. » Elle semble rire, mais c’est si faible que même lui a du mal à l’entendre. Encore des banalités quand elle tremble contre lui, le visage plus pâle qu’il ne l’était depuis une semaine. Il pose ses yeux sur elle quand elle murmure doucement. « J’ai si froid Selme… Si froid. » Le temps de dire adieu sans doute, mais il avait fait comme s’il ne l’avait pas entendu, il ne pouvait pas l’accepter. Il ferme les yeux et pose son visage sur le haut de son crâne. « Je suis là Rosie… Ne t’inquiète pas. » Et puis, elle ferma les yeux, une dernière fois sans un mot de plus, alors que lui, quand il ne l’entendit plus respirer quand il ne sentit plus son souffle chaud sur la peau de son bras, il s’effondrât plus qu’il ne l’avait imaginé.

| Nice ● Trente-cinq ans ● 1921 |
La colère du père de la jeune femme est clairement perceptible alors qu’Anselme se tient bien droit devant celui qui aurait dû être son beau-père dans quelques mois. Azra Shafiq avait peut-être un physique avantageux, elle n’était rien d’autre qu’une catin qui profitait de beaucoup d’autres hommes, alors qu’Anselme était encore relativement sage sur ce point, préférant se garder pour une femme qu’il épouserait. Après Rosalie, il n’était sûr de rien sur l’amour et si leurs fiançailles duraient depuis plus d’un an, le Delacour était certain d’une chose, Azra était une bonne amante, mais elle n’avait rien de l’épouse parfaite. « Ma nièce n’est pas… » Anselme hausse les épaules. « Je peux vous certifier que je l’ai déjà essayé moi-même. » Dit-il sans une once de gêne. Oui, la consommation avant le mariage, c’était beau, mais avec la guerre, il savait qu’il fallait profiter de la vie avant qu’elle ne s’éteigne. « Alors, je vous invite à reprendre l’argent que vous avez déjà versé pour la dot de votre nièce, Shafiq, dans un premier temps ma famille n’en a nul besoin, dans un second, je ne voudrais pas m’encombrer d’argent assez sale si vous voyez où je veux en venir. » Le Français se lève et rejoint de lui-même la sortie. De la fille frivole, il prit par la suite l’attitude, mais venant d’un homme rien de plus banal. Quant à l’argent sale, il n’y touche pas réellement, se contentant d’être honnête.

| Paris ● Quarante ans ● 1926 |
« Elle te fait tourner la tête n’est-ce pas ? » Demande Piotr qui vient s’installer à côté de lui, un verre de bourbon à la main. Il savait très bien de quoi le Gregorovitch parlait. Il parlait d’Amélie Rosier évidemment. C’était difficile à dire, Anselme ne savait pas vraiment ce qui lui plaisait chez la jeune femme, elle était fraîche et malgré elle, elle lui rappelait Rosalie et il était heureux d’avoir cette sensation dans le creux du ventre, même si ça lui faisait bien plus que peur. « Tu sais, tu peux me le dire, ça ne changera rien que tu préfères les petites jeunes. » « Ferme là tu veux. » Articule le nouveau Sénateur Delacour. C’est vrai que l’année de ses quarante ans avait été plutôt bonne entre le travail et la venue de son frère d’armes à Paris. Mais la fois où il avait rencontré les jumelles Rosier lors d’un bal mondain, ça avait eu raison de lui. Dans un premier temps, c’est Amélia qui lui avait été présentée, puis Amélie, sa copie presque conforme, au détail près qu’elle savait ce qu’elle voulait et qu’elle avait cette étincelle dans les yeux, où Amélia était bien plus que timide à ton égard. Au moins, Anselme, il avait eu le choix entre les deux jumelles, l’une se faisait insistante. Mais c’est Amélia qu’il prit comme assistante, évidemment, un soir, un unique soir, avant qu’Amélie ne commence à lui faire la cour, il y a eu ce dérapage et depuis, il est avec la seconde. Du moins, il s’en complait, car il n’arrête pas de voir d’autres femmes. Mais c’est elle qu’il couvre de cadeaux, c’est elle qu’il voit depuis au moins quatre ans. Pourtant, il prend une cigarette qu’il coince entre ses lèvres en regardant Piotr. « Et comment les Russes s’y prennent pour demander quelqu’un en mariage ? »
๑  A VAINCRE SANS PERIL EN TRIOMPHE SANS GLOIRE ๑



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